Concours d'histoire · Raymond Labonté

Myriam Gauthier

Myriam Gauthier, récipiendaire niveau universitaire d’une bourse de 2 000 $ en 2016 pour son texte : Le vélo, de loisir à mode de transport : un partage de la route ardu à Alma entre 1975 et 1985. Nous lui avons posé la question suivante : pourquoi participer à ce concours?

« Le Concours d’histoire Raymond-Labonté représente une opportunité non seulement d’explorer une facette de l’histoire régionale, mais aussi de s’initier au métier d’historien. Il permet de mener un projet de recherche à petite échelle, tout en se familiarisant avec le dépouillement de fonds d’archives.

Dans le cadre du concours, j’ai bonifié un travail de recherche réalisé à l’occasion du cours Pratique de la recherche, pendant mon baccalauréat en histoire à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). J’ai effectué des recherches complémentaires en archives à celles déjà effectuées pour explorer davantage le sujet qui m’intéressait.

Ce premier contact avec la recherche a alimenté ma réflexion en faveur de la poursuite de mes études universitaires au deuxième cycle. Je suis présentement à ma deuxième année d’études à la maîtrise en études et interventions régionales à l’UQAC et me consacre actuellement à mon projet de recherche en histoire, qui s’intéresse à la propagande de guerre au Saguenay-Lac-Saint-Jean pendant la Seconde Guerre mondiale. »

Kim Bergeron et Marc-Antoine Bolduc

Kim Bergeron, récipiendaire niveau collégial du premier prix ( 1500 $) en 2018 pour son texte : Le Saguenay–Lac-Saint-Jean et ses trésors gastronomique.

Marc-Antoine Bolduc, récipiendaire niveau collégial du deuxième prix (1 000$) en 2018 pour son texte : Bleu comme le lac, rouge comme le diable.

Nous leur avons posé la question suivante : pourquoi participer à ce concours?